Formation – Emplois d'avenir https://www.emploisdavenir-uniformation.fr Cursus scolaire, emploi, formation et entreprise Fri, 19 Sep 2025 15:32:00 +0000 fr-FR hourly 1 https://www.emploisdavenir-uniformation.fr/wp-content/uploads/2020/11/cropped-slogan-emploisdavenir-uniformation-32x32.png Formation – Emplois d'avenir https://www.emploisdavenir-uniformation.fr 32 32 Choix d’une école de cybersécurité à Paris : les erreurs à éviter https://www.emploisdavenir-uniformation.fr/choix-dune-ecole-de-cybersecurite-a-paris-les-erreurs-a-eviter/ https://www.emploisdavenir-uniformation.fr/choix-dune-ecole-de-cybersecurite-a-paris-les-erreurs-a-eviter/#respond Fri, 19 Sep 2025 15:32:00 +0000 https://www.emploisdavenir-uniformation.fr/?p=260 Le choix de l’école en cybersécurité à Paris où vous ferez vos études ne se fait pas arbitrairement. C’est toute votre carrière qui est en jeu ! Il y a des choses qu’il ne faut surtout pas faire si vous souhaitez soigner votre parcours : penser que le proximité géographique est un critère prioritaire ; être convaincu que la reconnaissance du diplôme par l’Etat n’est pas à prendre en compte ; ne pas se préoccuper du contenu du programme ; préférez la théorie à la pratique et choisir son école sur ce principe ; ne pas se préoccuper des débouchés ; minimiser l’importance des certifications ; sous-évaluer le rôle de ses objectifs personnels.

Erreur 1 : Se baser uniquement sur la proximité géographique

Vous risquez de passer à côté d’opportunités académiques et de programmes d’excellence. Pour éviter cela :

Analyser la qualité de l’établissement avant d’accorder de l’importance à la localisation

Le programme pédagogique doit couvrir tous les aspects techniques de la cybersécurité : cryptographie, analyse de vulnérabilités, test d’intrusion, gouvernance des risques et réponse aux incidents de sécurité. Les formateurs doivent posséder une expérience concrète du terrain. Ils devraient être issus d’entreprises spécialisées dans la protection des systèmes d’information.

Reposez-vous également sur les partenariats avec des entreprises. Ces collaborations permettent aux étudiants d’accéder à des stages et des opportunités d’alternance dans des entreprises exigeantes.

Jetez un coup d’œil sur les réseaux d’écoles

Des établissements comme Ynov disposent de campus dans plusieurs grandes villes françaises. Si le programme de formation de campus le plus proche de votre domicile répond à vos attentes professionnelles, vous pouvez le choisir. Cette façon de procéder vous permet également de choisir une ville qui dispose d’un cadre de vie agréable et des opportunités de stages dans le secteur de la cybersécurité.

Erreur 2 : Ignorer la reconnaissance du diplôme

Il y va de votre employabilité et de votre évolution de carrière.

Un diplôme obligatoirement reconnu par l’Etat pour les étudiants post-bac

Les étudiants qui intègrent une formation après le baccalauréat doivent privilégier un bachelor ou un cursus de niveau Bac+5 reconnu par l’État. Recherchez les établissements proposant des titres RNCP (Répertoire National des Certifications Professionnelles) de niveau 6 ou 7. Ils doivent proposer des formations accréditées par la Commission des Titres d’Ingénieurs ou enregistrées au RNCP. La crédibilité académique et professionnelle est essentielle dans ce milieu.

Critères à prendre en considération par les adultes en reconversion

Les professionnels en reconversion vers les métiers de la sécurité informatique doivent vérifier que le titre professionnel visé est éligible au Compte Personnel de Formation (CPF). Cette éligibilité, en plus de faciliter le financement de la formation, est la preuve de sa reconnaissance par l’Etat.

Assurez-vous également que les recruteurs du secteur valorisent le diplôme. Pour ce faire, lisez les retours d’anciens étudiants et consultez les taux d’insertion professionnelle.

Erreur 3 : Ne pas analyser le contenu du programme

C’est dans le programme que vous pouvez évaluer le sérieux d’une école de cybersécurité parisienne. En plus, en analysant le programme, vous saurez si les compétences que vous allez acquérir vous permettront d’atteindre vos objectifs professionnels.

Il faut beaucoup de pratique, mais la théorie n’est pas à négliger

Un programme de qualité en cybersécurité doit combiner enseignements théoriques et applications pratiques. Les cours théoriques couvrent les fondamentaux de la sécurité informatique, la cryptographie, les normes de sécurité et les aspects juridiques.

Les travaux pratiques portent sur les tests d’intrusion, les analyses de malwares, les exercices de réponse à incident et les simulations de cyberattaques. Vérifiez la présence de projets personnels dans le cursus. Ils permettant aux étudiants de développer une expertise dans un domaine. Ces projets favorisent l’innovation et l’autonomie en plus de permettre la création d’un portfolio professionnel que les recruteurs vont apprécier.

Les besoins personnels ne doivent pas être négligés

Analysez la correspondance entre vos aspirations professionnelles et les spécialisations proposées par l’établissement. Certaines écoles privilégient la cybersécurité offensive (tests d’intrusion, ethical hacking), d’autres se concentrent sur la défense (analyse de logs, détection d’incidents), la gouvernance (gestion des risques, conformité réglementaire) ou encore la forensique numérique.

Erreur 4 : Sous-estimer l’importance de la pratique

Les employeurs recherchent des profils immédiatement opérationnels, capables d’appliquer concrètement les concepts théoriques qu’ils ont appris.

Les stages et l’alternance sont importants dans une formation en cybersécurité

Privilégiez les établissements qui imposent à leurs élèves des stages longs de plusieurs mois. Ces stages permettent aux étudiants de faire une immersion complète dans le milieu professionnel de la cybersécurité. L’alternance est aussi avantageuse pour ces futurs experts. Elles combinent enseignements académiques théoriques et expérience terrain sur des projets d’envergure. Ce rythme facilite l’acquisition de compétences nécessaires en situation professionnelle et améliore les chances d’embauche à l’issue de la formation.

Dans l’école de votre choix, vous devez avoir accès à un cyber-laboratoire équipé d’outils professionnels. Ces espaces sont destinés à la réalisation d’exercices pratiques en conditions réelles : simulation d’attaques, analyse de vulnérabilités, mise en place de solutions de sécurité et tests de résistance des systèmes d’information.

Les partenariats avec les entreprises sont essentielles pour une école qui valorise la pratique

Ce sont des entreprises spécialisées en cybersécurité dont il est question ici. Grâce à ces collaborations, vous pouvez être sûr que les enseignements dispensées vous fournissent des connaissances utiles aux entreprises. Vous pouvez également être certain que le programme est constamment actualisé.

Enfin, vous avez accès à des opportunités professionnelles. Les entreprises partenaires interviennent souvent directement dans les formations en organisant des conférences, en lançant des projets collaboratifs et en encadrant les stages.

Erreur 5 : Oublier de vérifier les débouchés

Ici, il s’agit du retour sur investissement de votre formation.

Quels sont les indicateurs d’insertion professionnelle ?

Prenez connaissance du taux d’insertion professionnelle des diplômés. L’étudiant devrait avoir décroché un emploi dans les six mois suivant l’obtention du diplôme. Les meilleures écoles de cybersécurité affichent des taux supérieurs à 90%. Là, il n’y a aucun doute à avoir : la formation dispensée satisfait les besoins du marché. Analysez également le type de postes occupés par les anciens élèves : ingénieur cybersécurité, consultant en sécurité informatique, analyste SOC, architecte sécurité ou responsable de la sécurité des systèmes d’information. Plus il est varié, plus la formation est polyvalente.

Quelles sont les rémunérations dans le secteur et l’évolution de carrière que l’on peut espérer ?

En cybersécurité, un profil junior peut espérer une rémunération comprise entre 35 000 et 45 000 euros bruts annuels à Paris. Il évolue rapidement vers 45 000 à 70 000 euros après quelques années d’expérience. Les profils seniors atteignent 80 000 à 100 000 euros.

Erreur 6 : Négliger les certifications professionnelles

Les certifications professionnelles attestent de la possession de compétences techniques dans un domaine précis (une spécialisation en quelque sorte). Elles offrent à ceux qui les détiennent un avantage concurrentiel sur le marché de l’emploi.

Certifications techniques incontournables

Les certifications CEH (Certified Ethical Hacker) et CISSP (Certified Information Systems Security Professional) sont très demandées par les employeurs. Le CEH est axé sur les compétences offensives. Il forme des spécialistes des tests d’intrusion et de l’analyse de vulnérabilités. Le CISSP couvre la gestion globale de la sécurité de l’information. Il s’adresse aux profils expérimentés.

Envisagez aussi de décrocher l’OSCP (Offensive Security Certified Professional) pour devenir un as du pentesting avancé et la GCIH (GIAC Certified Incident Handler) pour passer maître dans la gestion d’incidents. Vérifiez que l’école vous prépare à ces certifications dans son programme ou a mis en place des modules de formation.

Reconnaissance par les recruteurs

Inscrivez-vous dans des établissements dont les programmes préparent aux certifications courtisées par les recruteurs. Des écoles affichent des taux de réussite élevés aux examens de certification : la qualité de leur préparation ne fait donc aucun doute. Ces certifications facilitent l’accès à des postes spécialisés et vous permettent d’avoir facilement des augmentations de salaire.

Erreur 7 : Ne pas tenir compte de son profil et de ses objectifs

Lorsque vous faites votre choix, vous devez toujours prendre en considération en même temps votre profil personnel, vos objectifs de carrière et les caractéristiques de la formation.

Que faire après le bac ?

Les étudiants issus du baccalauréat général ou technologique doivent rechercher des formations qui ont mis en place un socle solide en informatique et mathématiques. Il leur faut des cycles préparatoires pour permettre une acquisition des fondamentaux techniques en cybersécurité. Un cursus de cinq ans offre une progression pédagogique adaptée aux débutants dans le domaine technique.

Évaluez votre appétence pour le type de cours : aspects théoriques ou pratiques de la cybersécurité. Certains profils préfèrent les formations très techniques axées sur le développement et l’exploitation de vulnérabilités. D’autres privilégient les approches managériales qu’implique la gestion des risques et de conformité aux règlements.

Quelle reconversion professionnelle opérer ?

Les professionnels en reconversion doivent sélectionner des formations adaptées à leurs contraintes personnelles : formation initiale, alternance, formation continue ou enseignement à distance. L’objectif est de pouvoir concilier formation et contraintes professionnelles ou familiales.

Les titres professionnels de courte durée (6 à 12 mois) conviennent à ceux qui disposent déjà d’une base technique en informatique. Les formations longues (2 à 3 ans) sont plutôt destinées aux candidats qui souhaitent une reconversion complète avec acquisition de l’ensemble des compétences techniques.

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Aide-soignant(e) : métier et études ou formations à suivre https://www.emploisdavenir-uniformation.fr/aide-soignante-metier-et-etudes-ou-formations-a-suivre/ https://www.emploisdavenir-uniformation.fr/aide-soignante-metier-et-etudes-ou-formations-a-suivre/#respond Wed, 29 Jun 2022 13:13:17 +0000 http://www.emploisdavenir-uniformation.fr/?p=219 Depuis le début de la lutte contre le coronavirus, les professions paramédicales ont été remises sur le devant de la scène. Ambulancier/ambulancière, infirmier/infirmière ou encore manipulateur/manipulatrice en électroradiologie médicale. Toutefois, les aides-soignants/aides-soignantes n’ont pas été en reste.

Le métier d’aide-soignant

En résumé, semblable à tous les métiers, être aide-soignant n’est pas facile au quotidien. Non seulement, ces professionnels veillent à l’hygiène ainsi qu’au confort physique et moral des patients, mais ils jouent aussi un rôle essentiel de réconfort auprès des malades. En effet, en plus de leur prodiguer des soins, l’aide-soignant est l’un des piliers du confort des patients durant leur séjour dans l’établissement hospitalier.

Généralement, il peut travailler dans un hôpital ou une maison de retraite, mais peut aussi exercer à domicile ou dans la section soin des services militaires. Cependant, que ce soit dans un centre hospitalier ou un EHPAD, l’aide-soignant sera toujours sous la responsabilité d’un infirmier ou d’un chef de service. Voici les missions qui lui incombent :

– Accueillir et installer les patients ;
– Suivre et appliquer les préconisations médicales du personnel soignant ;
– Veiller à ce que les patients prennent leurs médicaments en temps et en heure ;
– Se charger des plateaux-repas (matin-midi et soir) ;
– Créer une proximité entre les patients et le personnel de l’hôpital ;
– Transmettre par écrit ses observations au niveau de l’évolution de l’état des patients.

Les formations à suivre et les diplômes requis

Notez bien que le diplôme d’État d’aide-soignant ou D.E.A.S est obligatoire pour exercer en tant qu’aide-soignant. Toutefois, les examens de D.E.A.S de niveau V se préparent pendant 1 an dans un centre de formation dépendant d’un hôpital. De nombreux organismes de formation proposent ce type de cursus, mais si vous cherchez l’un des meilleurs, nous vous conseillons de vous rendre à l’IFSO de Rennes. Ce nouvel institut, installé dans les locaux du lycée Saint-Yves, à Bain-de-Bretagne, propose une formation d’aide-soignante pour tous ceux qui souhaitent se lancer dans le métier.

Le plus de cet établissement ? La formation aide-soignante est disponible en parcours continu ou en apprentissage. Une aubaine à saisir pour les élèves titulaires d’un BAC Pro SAPAT et ASSP. L’offre de formation de l’IFSO de Rennes répond à la problématique du manque de personnel qualifié au niveau des établissements de santé et médico-sociaux.

Sa formation diplômante prépare (mentalement et physiquement) les jeunes à travailler dans le secteur de la santé afin de renforcer efficacement les équipes sur terrain. En proposant un contenu 100 % pratique, les formateurs de l’IFSO montrent la voie à l’avenir du métier d’aide-soignant. L’enseignement se porte majoritairement sur :

– L’accompagnement physique et mental des patients ;
– Les techniques de base de la communication ;
– Les règles d’hygiène et de propreté à respecter durant le service ;
– Les types de soins et de traitements ;
– Les moyens de transmission d’informations.

Bien entendu, d’autres thématiques sont abordées durant le cursus ! N’hésitez pas à demander plus d’informations sur leur site web.

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Gestion de patrimoine et formation : ce qu’il faut savoir https://www.emploisdavenir-uniformation.fr/gestion-de-patrimoine-et-formation-ce-quil-faut-savoir/ https://www.emploisdavenir-uniformation.fr/gestion-de-patrimoine-et-formation-ce-quil-faut-savoir/#respond Fri, 15 Jan 2021 07:10:31 +0000 http://www.emploisdavenir-uniformation.fr/?p=131 Pour tous les étudiants qui souhaitent devenir un gestionnaire de patrimoine, il faut qu’ils visent tout au moins un diplôme de master. Ce type de professionnel est aussi appelé conseiller en gestion de patrimoine et a pour mission d’aider et d’accompagner son client dans la gestion de son patrimoine. Il en définira les stratégies à adopter dans ce cas, afin de bien gérer et de faire fructifier le patrimoine.

Quel cursus formatif suivre ?

Afin de devenir un gestionnaire de patrimoine, un apprenant doit suivre des formations spécifiques et avoir des compétences non seulement en droit, mais aussi, en fiscalité, en économie, ainsi qu’en finance. Il est toutefois possible que l’apprenant suive une formation professionnelle ou une formation initiale. En suivant une formation professionnelle, l’apprenant doit toutefois avoir un statut de salarié. Dans ce cas, il peut intégrer un centre de formation à tout moment en mobilisant son compte professionnel de formation ou en suivant le cursus formatif dans le cadre d’une validation des acquis de l’expérience.

Formation comme conseiller en gestion de patrimoine : quel diplôme doit-on viser ?

Pour devenir un bon gestionnaire de patrimoine, il est recommandé de viser un Diplôme d’Études Supérieures Spécialisées en gestion patrimoniale. Pour acquérir ce type de diplôme, l’apprenant peut passer par différents types d’écoles. Mais on peut également viser d’autres types de diplômes pour accéder à ce métier. Concernant les écoles où l’on peut suivre des filières menant à la gestion de patrimoine, vous avez les écoles de commerce et d’ingénieur, l’ENSAE, les instituts d’études politiques, mais dans ce cas, il faut intégrer la section finance et/ou économie. Pour ce qui est des diplômes, il est possible de viser un master en droit option sciences économiques ou un master IUP option banque, finance et assurance pour devenir un conseiller en gestion de patrimoine. Toutefois, si l’apprenant n’a pas de DESS en gestion de patrimoine, il est recommandé de suivre des formations annexes après lesdits masters pour obtenir un master pro en gestion de patrimoine.

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Quelle école après son bac ? https://www.emploisdavenir-uniformation.fr/quelle-ecole-apres-son-bac/ https://www.emploisdavenir-uniformation.fr/quelle-ecole-apres-son-bac/#respond Wed, 23 Dec 2020 08:32:13 +0000 http://www.emploisdavenir-uniformation.fr/?p=114 Après le bac, les étudiants ont souvent des difficultés à trouver la voie qui leur convient. Pour vous aider dans ce sens, découvrez ici toutes les possibilités qui s’offrent à vous. En général, vous avez le choix entre une université, le BTS, les CPGE et les écoles spécialisées.

Choisir une université

Après votre bac, vous pouvez choisir d’aller à l’université et de suivre des études courtes de 2 ou 3 ans. Mais vous pouvez également opter pour des études plus longues de 4 à 5 ans dans une université, selon la filière que vous désirez. Si vous envisagez de faire 2 ans d’études, vous pouvez obtenir le titre BUT ou bachelor universitaire de technologie à l’université. Ce diplôme remplacera le titre DUT à partir de l’année 2021. Les formations pour l’obtention du titre comprennent à la fois des cours pratiques et théoriques. Elles sont souvent proposées par les Instituts universitaires de technologie. Après l’obtention de ce diplôme, vous pouvez encore poursuivre vos études à l’université pour obtenir une licence professionnelle ou un master. La licence s’obtient en 3 ans d’études et le master en 5 ans d’études à l’université.

Choisir le BTS ou Brevet de technicien supérieur

Si vous prévoyez d’effectuer 2 ans d’études après le bac, vous pouvez choisir le Brevet de technicien supérieur ou BTS qui est généralement prodigué dans les lycées. Ce titre implique de suivre 2 ans de formations basées sur la pratique et tournées vers l’entreprise. La formation implique ainsi des stages en entreprise. Après l’obtention du BTS, vous pouvez suivre vos études pendant 1 an pour l’obtention d’une licence pro, mais vous pouvez également intégrer une école post-bac, selon vos envies.

Choisir les CPGE ou classes préparatoires aux grandes écoles

Si vous visez des concours après le bac, vous pouvez choisir les classes préparatoires aux grandes écoles ou CPGE. Ce type de formation est habituellement réparti en 3 filières, dont les littéraires, les scientifiques et les économiques commerciales. La formation permet de suivre 2 ans de formatons après le bac, puis de passer des concours auprès des grandes écoles de commerce ou d’ingénieurs comme les écoles normales supérieures ou ENS, ainsi que les instituts d’études politiques ou IEP. La formation dans les classes préparatoires aux grandes écoles est souvent très intensive et pluridisciplinaire. Si vous échouez aux concours, vous pouvez continuer vos études en troisième année pour l’obtention d’une licence.

Choisir une école spécialisée

Après le bac, vous pouvez également choisir une école spécialisée et suivre des formations de 2 à 5 ans. L’objectif de ce genre de formation est de se professionnaliser pour apprendre un métier à travers des pratiques et des stages. Si vous choisissez cette option, consulter la page https://www.puissance-alpha.fr/les-ecoles/ peut vous aider à trouver l’école qu’il vous faut selon vos compétences, votre budget et vos envies.

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Demandeur d’emploi : pourquoi se tourner vers la formation continue ? https://www.emploisdavenir-uniformation.fr/demandeur-demploi-pourquoi-se-tourner-vers-la-formation-continue/ https://www.emploisdavenir-uniformation.fr/demandeur-demploi-pourquoi-se-tourner-vers-la-formation-continue/#respond Sun, 16 Aug 2020 13:12:02 +0000 http://www.emploisdavenir-uniformation.fr/?p=40 La formation continue est un programme utilisé dans la politique de lutte contre le chômage. Les demandeurs d’emploi ont l’occasion d’avoir accès à des dispositifs de formations professionnelles qui les aideront à faciliter le retour à l’emploi. Voici les informations utiles sur ce type de formation si vous êtes inscrit à Pôle Emploi en tant que demandeur d’emploi.

Comment bénéficier de la formation continue ?

Pour bénéficier d’une formation continue, il est nécessaire de contacter un conseiller du Pôle Emploi qui vous fournira de l’aide dans l’élaboration de votre PPAE (projet personnalisé d’accès à l’emploi). En fonction de votre PPAE, il existe des fonds pour la prise en charge totale ou partielle de votre formation. Ceux sont principalement l’AREF (aide au retour à l’emploi formation) destinée aux personnes qui jouissent d’une indemnité, l’AFPR (action de formation préalable au recrutement) qui s’adresse aux demandeurs d’emploi, mais qui nécessite plus de compétence pour un poste proposé, l’AFC (action de formation conventionnée) permettant au demandeur d’emploi d’obtenir les qualifications liées aux besoins du marché local et l’AFAF (aide aux frais associés à la formation) qui prend en charge les divers frais tels que le transport, le repas, et l’hébergement.

Comment financer la formation continue ?

L’octroi des financements est conditionné par divers facteurs tels que l’âge ou la capacité professionnelle du demandeur d’emploi. Parmi ces financements, on distingue le Chèque formation continue. C’est un financement régional réservé pour les moins de 25 ans non scolarisés depuis plus d’un an et sans compétence particulière. Quant au Chèque de la deuxième chance, il prend en charge le montant d’une formation qui n’est pas disponible dans le programme régional de formation. Il s’adresse aux jeunes de 16 à 25 ans qui ne sont plus scolarisés depuis plus d’un an. Par contre, la majorité des formations pour les demandeurs d’emploi se présente sous forme de contrat de travail selon le projet professionnel. Cette pratique permet une alternance entre les périodes de travail et les périodes de formation.

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